jeudi 25 avril 2013

Padre Pio et le Ténor italien .et le menteur . et les communistes et francs-maçons..



Padre Pio et le Ténor italien


Benjamino Gigli avait entendu parler de la grande renommée de Padre Pio.
Il arriva en voiture de luxe ,ce qui suscita curiosité et attroupements.Connu mondialement,Gigli fut reçu
froidement par Padre Pio:

'Tu t'appelles Gigli ,comme le lys de la pureté,mais tu es un lys malpropre,car tu trompes ta femme avec une autre."

"Benjamino (aimé de Dieu),tu n'es pas aimé par Dieu.,à cause de l'état de ton âme.

Mis sur le fait devant tous les visiteurs,Benjamino s'humilia et se convertit.Il mit fin à sa liaison extra-conjugale et resta jusqu'à sa mort un fidèle ami de Padre Pio.


Sa mère qui raconta cette histoire  
dans un journal , et ajouta qu'il revenait fréquemment à San Giovanni Rotondo,pour demander des conseils à Padre Pio.


Le célèbre capucin lui demandait alors  de chanter sa chanson préféré "Mamma'" et fondait souvent en larmes ,avant la fin de la chanson ,car elle lui rappelait sa mère Peppa.









CONVERSIONS EN CHAINE

Luisa Vairo habitait Londres, lorsqu'en septembre 1925 elle se rendit à San Giovanni Rotondo. Elle a raconté sa conversion et celles de plusieurs autres personnes, liées à la sienne.

Cette dame avait longtemps vécu éloignée de tout sens religieux de l'existence en recherchant continuellement les plaisirs, sans pour autant réussir à trouver pleine satisfaction. Dans cet état de tension, elle fut ébranlée par un événement survenu dans son entourage : 

la conversion d'un ami très cher, grâce à Padre Pio.
Le récit que lui fit cet ami l'impressionna au point qu'elle conçut un très vif désir de connaître ce fameux capucin du Gargano.

Un jour elle se rendit à San Giovanni Rotondo. A son arrivée, elle eut une impression étrange devant le dénuement du pays et du couvent, difficile à imaginer aujourd'hui, après tant de transformations. Quel contraste à côté des salons de Londres ! La dame eut un mouvement de répulsion ; son premier réflexe fut de s'éloigner le plus rapidement possible.

 Pourtant, elle sentait monter en elle un sentiment d'attirance pour la simplicité, la sérénité, la douceur de l'ambiance. Cela la déroutait. A la pensée de devoir rencontrer un religieux qui vivait dans la douleur des stigmates, qui savait et voyait tout, elle était remplie d'une immense frayeur. Réalisant l'abîme qui séparait son milieu adonné aux plaisirs et ce monde mystérieux, elle éclata en sanglots, troublant les personnes qui l'entouraient dans la petite église.


 Padre Pio arriva, s'approcha d'elle et, comme s'il savait depuis toujours l'histoire de cette âme, lui dit : « Madame, calmez-vous, calmez-vous. La miséricorde de Dieu est infinie. Jésus est mort sur la croix pour les pécheurs. »

 Madame Vairo dit aussitôt :« Je veux me confesser, Père. - Calmez-vous, Madame, ce n'est pas le moment. - Mais moi, je ne saurai rien dire, comment vais-je faire ? - Revenez cet après-midi à trois heures, je vous confesserai. 

Pour le moment, allez vous restaurer un peu, puis venez me trouver. Si vous ne parlez pas, c'est moi qui parlerai. »

Cette dame obéit point par point au Père, mais l'esprit confus et agité, elle ne put préparer sa confession. Quand elle revint vers le religieux, celui-ci prit l'initiative et lui énuméra tous les péchés qu'elle avait commis en précisant le lieu, l'époque et les circonstances, ce qui la fit blêmir. 

Padre Pio avait omis cependant un péché, et il lui demanda :« Tu ne te rappelles plus rien ? » La pénitente se souvenait fort bien de cette faute qu'il avait tue. Elle resta un instant perplexe : devait-elle la dire... ou non ? Puis elle se décida et l'avoua. Alors Padre Pio, rayonnant, s'écria : « Enfin, c'est cela que j'attendais ! » Puis il lui donna l'absolution de tous ses péchés.



Madame Vairo, ainsi pardonnée, se sentait devenue quelqu'un d'autre. Non seulement elle voulut rester quelque temps encore près de celui qui l'avait tirée du néant, mais elle s'imposa une rude pénitence pour expier son passé.

 Un jour elle décida d'aller nu-pieds depuis son logement jusqu'au couvent, sous une pluie glacée mêlée de grésil. Elle arriva trempée et les pieds en sang.

 Padre Pio, en la voyant dans cet état, lui dit qu'il s'agissait d'une très forte pénitence, puis il ajouta : «Mais cette eau ne mouille pas», et les vêtements de Madame Vairo furent secs sur-le-champ.


Ce n'est pas tout. Cette dame avait un fils qui - tout comme elle auparavant - restait éloigné de l'Eglise. Dans la ferveur de sa nouvelle vie, elle lui écrivit, lui relatant sa conversion et lui parlant avec enthousiasme de Padre Pio ; elle l'invita même à la rejoindre à San Giovanni. 

Le fils ne voulut rien savoir et répondit qu'il ne s'y rendrait jamais, même par curiosité. Padre Pio exhorta la mère à persévérer dans la prière pour son fils, assurant qu'il se convertirait lui aussi un jour.


Peu après, Madame Vairo lut dans un journal apporté par un ami français venu lui rendre visite,
que le navire sur lequel se trouvait son fils avait fait naufrage et que de nombreux passagers s'étaient noyés. 

Croyant que son enfant se trouvait parmi ces derniers, elle était dans le plus grand désespoir. Padre Pio, après avoir appris la raison de son chagrin, lui dit : 


« Qui t'a dit que ton fils est mort, pour que tu te mettes dans un tel état ? » Elle répliqua :« Et qui me dit qu'il est vivant ? » Le religieux se recueillit pour prier, puis déclara : « Remercie Dieu. Ton fils est en vie et il se trouve à tel endroit. » 


Et il lui indiqua ce lieu avec précision. La mère écrivit immédiatement à cette adresse, au moment même où le rescapé lui écrivait de son côté pour la rassurer. Les deux lettres se croisèrent, et le fils fut très étonné que sa mère ait pu savoir déjà où il était. Ceci l'intrigua tellement qu'il se rendit à San Giovanni Rotondo pour élucider ce mystère.


La foule attend pour se confesser au Padre

 Quand il arriva, sa mère le pria de rester à jeun pour pouvoir se confesser et recevoir ensuite la sainte communion des mains de Padre Pio.

 Le jeune homme promit puis s'excusa, disant qu'il allait au marché et qu'il reviendrait aussitôt. Là, il acheta deux oeufs, qu'il goba... puis une grappe de raisin qu'il mangea aussi. Ensuite, il rejoignit sa mère dans la sacristie. Lorsque Padre Pio arriva, Madame Vairo lui présenta son fils en disant : « Père, voici mon enfant dont je vous ai parlé. » 

Padre Pio le regarda d'un air plutôt ironique et dit : « Quel fripon ! Quel petit menteur ! » et se tournant vers la mère il ajouta :« Tu le crois, toi, ma pauvre, qu'il est à jeun ? » Le jeune homme se crut en droit d'intervenir et dit au Père : « Pourquoi me traitez-vous ainsi ? Vous ne me connaissez pas. » 

Padre Pio répliqua : « Tu veux encore insister et soutenir que tu es à jeun... et les deux oeufs ?... et le raisin frais que tu as mangés ? » 

Alors le jeune homme se rendit et s'écria : « Père, pardon... je crois ! » Et il se convertit à son tour.



Padre Pio et les communistes et francs-maçons.


Giovanni  Bardazzi est un gars typique "toscanaccio" du Prato. Il était  membre du Parti communiste depuis 1947, et grâce à son initiative et son impétuosité est rapidement devenu un chef de cellule pleine d'initiatives. Il veut mettre en pratique  les idées et la force du communisme.

 Impossible pour lui de voir les prêtres, les moines et les nonnes . Il veut transformer les églises en salles de bal. Ce qu’il  fait comme un fou un peu partout. Mais une nuit, dans un rêve, il voit un moine à la barbe et les mains avec des mitaines, qui dit: "Maintenant assez! Il est temps d'arrêter! Je vais t’attendre à S. Giovanni Rotondo. "

 J'ai été impressionné, mais qui ce frère?  S. Giovanni Rotondo, où est-ce? Il parle avec sa femme, qui non seulement donne des explications sur le frère et S. Giovanni Rotondo, mais le pousse à aller en personne à clarifier les idées. Bardazzi  hésite: Aller? Ne pas y aller? Passez un peu de temps, puis décide: Tu vas voir ce que c'est. Et si un jour il a commencé à voyager avec sa femme et les autres.

Arrivé à San Giovanni Rotondo, il envoie sa femme  au couvent avec des pèlerins , et il va à la section communiste du coin, pour obtenir des informations sur Padre Pio. Croyant les avoir de son côté pour convenir qu'il s'agit d'une fraude, mais il se rend compte que ses camarades ne se sentent pas comme ça du tout: Padre Pio est intouchable! 

Mais alors quel genre de communistes à S. Giovanni Rotondo! Il ne peut pas comprendre. Ensuite, il va  au couvent .Une autre surprise: il y a des gens qui attendent pour entrer dans l'église et dans l'intervalle, ils prient le chapelet à la main, même les hommes.

Le lendemain, il veut faire face à Padre Pio pour le "mettre au pas", comme il le pense, car il est convaincu que toute cette histoire est un de ces trucs pour mystifier les pauvres. Oui, mais à lui ,on  ne la fait pas! Padre Pio  arrive et passe devant lui. il se met à trembler , depuis la  sommet de sa tête  jusqu’aux pieds,



Padre Pio  murmure: «elle est venu cette brebis galeuse».
Le lendemain matin, il va entendre la messe de Padre Pio, qui alors l’a dit à l'autel de Saint- Francis dans la vieille église. Bardazzi se place au plus près pour bien pour observer Padre Pio.

 Padre Pio  montre ses mains lors de l’offertoire sans mitaines avec des blessures dans le centre et beaucoup de sang autour. Les gens et les assistants gardent le  silence à cause des souffrances qu'il voit dans le visage de Padre Pio. Bardazzi veut des preuves: s'il est vrai que ce frère souffre maintenant la passion de Jésus-Christ, pourquoi lui-même n’en  ressent-il  pas une partie aussi?

Tout d'un coup, il est dans une souffrance insupportable. Elle ne dure qu'un instant, mais Bardazzi estime que çà dure un siècle! Maintenant,  Bardazzi ne voit pas les choses comme avant, mais à la lumière de la grâce ,il s’est reconnu coupable. Il veut se confesser et aller à Padre Pio, mais celui-ci lui dit : «Dis-moi tu, qu'est-ce qui vous a fait le Seigneur?". Et Bardazzi répond : «Rien, je ne sais pas s'il y a un Dieu."

Padre Pio: «Vous ne savez pas si il existe! Bien sûr qu’il existe !. " Il tisse un dialogue intense, mais cela se termine par une impasse, parce que Padre Pio voit qu’il n’est pas prêt  et dit catégoriquement: 

«Je ne peux pas  vous donner l'absolution, parce que je ne veux pas  aller en enfer à cause de toi !

Bardazzi  est en pleine obscurité.  interroge sa conscience, Et enfin,  peu à peu  son âme est légère, avec la grâce de Dieu et la prière de Padre Pio ,cela devient tout à fait clair en lui.

Il a des remords, se repent et demande pardon à Dieu sincèrement, alors Padre Pio a finalement absous l’homme  et le purifie totalement. Maintenant Bardazzi a complètement changé.

 De retour à Prato, en quittant le Parti communiste, face aux railleries de ses anciens compagnons, il montre que son âme spirituelle  a été racheté avec l'aide de Padre Pio et commence une nouvelle vie.


le même récit

Giovanni da Prato était chauffeur de taxi et ardent communiste. Quand il s'enivrait, da Prato serait battait  parfois sa femme. Un soir, il avait justement fait cela, et ensuite, alla dans sa chambre pour se jeter dans le lit A ce moment, il commença à sentir le lit qui se secouait fortement depuis le rail inférieur. Regardant
dessous le lit donc, il tomba dans la stupéfaction : il vit un moine tenant le rail et le regardant avec colère. Le frère lui a dit très clairement ce qu'il pensait de lui et de son activité, puis a semblé disparaître. L’ardent communiste Giovanni sauta de son lit, ferma rapidement la porte, puis cria à sa femme: «Maintenant donc !Où est ce moine !?"
Écartant ses dénégations et de protestations, Giovanni fouilla la maison et ne trouva personne. Comme un certain temps passait, il devint assez sobre pour être convaincu par la sincérité de sa femme. Sa femme avait prié Padre Pio pour qu’il l'aide…elle se demandait si cet événement était la réponse à ses prières. Elle
a dit à son mari qu'elle croyait que c’était Padre Pio qui était apparu dans la chambre. Giovanni dit
sévèrement: «Ecoute, aucun moine ne fait le singe avec moi. J’irais jeter un coup d’oeil à votre Padre Pio et j’entendrais ce qu'il aura à dire pour son cas. Je verrais aussi s’il vole ! "
Quelques jours plus tard, fidèle à sa parole, Giovanni a fait un long détour dans son taxi pour voir Padre Pio. Il est arrivé et a trouvé de Padre Pio. Il a reconnu Padre Pio, et lui parla. Il a été foudroyé et Padre Pio l'a amené à faire un aveu. Après sa confession, Giovanni a admis: «Ce j'oubliais, il me le rappelait pour moi.
Je pleurais ... »Et à la fin de la confession, Giovanni a sorti sa carte de membre du Parti et communistes et demanda que Padre Pio la détruise. "Oui, je le ferai. Mais vous avez une autre de ces cartes dans le tiroir
dans le tiroir à côté de votre lit. Détruisez ce trop quand vous rentrez chez vous. "Padre Pio, puis lui dit: «Vous avez donné un grand scandale, et maintenant vous devez faire quelque chose pour rattraper cela.
Pour votre pénitence vous irez tous les dimanches à la sainte communion à la dernière messe dans l'église principale jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter. "
En ces jours, le jeûne était  de  règle  et de s'abstenir de tout aliment solides de minuit jusqu'à la Sainte
Communion. Giovanni a dû faire cela la majeure partie de l'année.Giovanni avait été une figure importante parmi ses compagnons communistes, mais maintenant, il était
juste un simple ‘gars de la foi’. Il a contesté contre certains des communistes qu'il connaissait en disant : "Pourquoi tu ne viendrais pas avec moi et voir comment vous vous débrouillerez " Mois après mois des communistes allaient là bas pour voir Padre Pio ; ils étaient toujours impressionnés et parfois convertis.94


94 John McCaffery, Blessed Padre Pio, Roman Catholic Books, Fort Collins, CO. pp. 29-30.


Un communiste a approché Padre Pio et commencé à lui parler. Padre Pio l’a interrompu en lui disant:
"Puis-je voir votre carte de membre?" L'homme la tira de son portefeuille et la lui donna. Padre Pio prit la
carte et la mit en pieces.-92-


92 Dorothy Gaudiose, Prophet of the People, Alba House, NY, NY. p. 217.


Une fois, Padre Pio a dit à un homme nommé Antonio, «Comment pouvez-vous vous appeler catholique et
communiste en même temps? Faites votre choix. Vous êtes soit l'un ou l'autre, mais vous ne pouvez pas
être les deux à la fois. "Ces déclarations ont secoué Antonio, et lui fit renoncer au communisme et retourner
à la Foi de l’Eglise catholique.93


93 Fr. John A. Schug, Padre Pio, National Centre for Padre Pio, National Centre for Padre Pio, Barto, PA. p. 
131


Un communiste incrédule était aussi venu voir Padre Pio pour la confession. A l'époque il n'avait toujours 
pas abandonné ses croyances malsaines. Padre Pio le chassa du confessionnal, en disant: «Que faites-vous 
en face du tribunal de Dieu, si vous ne croyez pas? Allez ! Allez-vous-en ! Vous êtes un communiste ! "

58 Radio Replies Press, Inc., Who is Padre Pio, TAN Books, Rockford, IL. p. 28.

FRANC-MACON.


Cesare Festa était un avocat et le cousin du médecin personnel de Padre Pio. Festa a décidé d'aller voir le prêtre célèbre que son cousin lui avait tellement parlé. Lors de leur rencontre, Padre Pio a dit, "Vous êtes  franc-maçon." Avec une expression arrogante, pour la loyauté à la loge, Festa a déclaré:? ‘Oui, Père’

«Et quel est votre tâche en tant que maçon" Padre Pio lui a demandé.

«Elle est de poursuivre notre lutte contre l'Eglise dans la sphère politique,

Festa lui a répondu. Padre Pio a alors dit des choses à Festa qui l'ont convaincu qu'il ne pouvait pas avoir eu connaissance de telles informations de lui et de son passé, sauf par des moyens surnaturels.


91 Padre Pio, The Wonder Worker, Our Lady’s Chapel, New Bedford, MA. p. 31.


Deux francs-maçons qui étaient farouchement opposé à Dieu et l'Eglise catholique, avaient décidé de faire 
des aveux de péchés inventés au Padre Pio. Leur but était de profaner le sacrement de Pénitence. 

Ces hommes sont allés le voir séparément. Comme ils commencèrent à confesser leurs péchés fabriqués,

 Padre Pio les arrêta, leur dit qu'il savait ce qu'ils faisaient, et puis commença à réciter à chacun d'eux leurs péchés 
réels, ainsi que l'heure, le lieu et comment ils les avaient commis. Les deux hommes devinrent tellement 
déboussolés que quelques jours plus tard, ils se sont repentis de leur vie de péché et convertis.

57 Padre Pio, The Wonder Worker, Our Lady’s Chapel, New Bedford, MA. p. XI.



Dans une lettre du 7 avril 1913, Padre Pio a dit: "Combien de frères misérables qui sont des nôtres
répondent à l'amour de Jésus en se jetant à bras ouverts dans la secte infâme de la FrancMaçonnerie!


210 Padre Pio of Pietrelcina, Letters Vol. I, National Centre for Padre Pio, Barto, PA. p. 396



Pendant les jours de Padre Pio, diverses sectes non-catholiques essayaient activement de convertir le
peuple italien. L'une de ces sectes avait ouvert une école maternelle près de Padre Pio. Padre Pio savait que 
les enfants étaient exposés à la critique de la foi catholique. Padre Pio était très en colère, il dit à la 
supérieure: «Faites quelque chose rapidement! Aller en mon nom à l'archevêque et obtenez la permission 
d'ouvrir une crèche à proximité immédiate d’eux ... "Une école maternelle fut commencé, et dans un court 
laps de temps la secte devait fermer son école maternelle et déménager. Padre Pio a combattu le mal non 
seulement avec la prière, mais aussi avec l'action.


211 Gennaro Preziuso, The Life of Padre Pio, Society of St. Pauls, Staten Island, NY. p. 178.



Bandits et voleurs


Un jour, un prêtre amena un mari et une femme chez Padre Pio, afin qu'il puisse les bénir. Trois de leurs 
fils étaient en prison pour cambriolage. Padre Pio leur dit:
"Je refuse absolument de vous bénir! Vous n’avez pas tiré sur les rênes lorsque vos enfants ont grandi, donc 
ne venez pas maintenant, quand ils sont en prison, demander ma bénédiction. "



85 Fr. John A. Schug, Padre Pio, National Centre for Padre Pio, National Centre for Padre Pio, Barto, PA. p. 
133.


IMPUDICITE ET LA MODE


Padre Pio avait des vues extrêmement fortes sur la mode féminine dans la tenue. Lorsque l'engouement 
pour la minijupe a commencé, personne n’osait venir au monastère de Padre Pio habillé de telle façon 
inappropriée. 

D'autres femmes ne venaient pas en minijupes, mais portaient tout de même des jupes assez courtes.

 Padre Pio se mettait en colère à ce propos. 
Une femme a essayé de changer sa jupe avant d'aller en
confession, en empruntant une plus longue, celle d'une amie.
Quand elle entra au confessionnal, il recula un peu le battant, puis le referma à nouveau, en déclarant:
«Eh bien? Vous vous êtes habillez pour le carnaval, alors? "

Toute femme venant dans son confessionnal, qui portait une jupe ne faisant pas huit pouces au dessous des 
genoux était immédiatement renvoyée, sans pouvoir aller en confession.
 Les autres femmes, qui réussissaient malgré tout à entrer et qui étaient habillées  de mauvaises façons, étaient reconduites à la porte par 
Padre Pio, parfois en criant «Dehors! Dehors ! Dehors ! "

Padre Pio ne tolérait, ni jupes serrées ni robes courtes ou décolletés. Il avait également interdit à ses filles 
spirituelles de porter des bas transparents. Sa sévérité augmentait chaque année. Il rejetait les femmes du 
confessionnal, avant même qu’elles n’y soient entrés, s'il discernait les robes inappropriées. 


Beaucoup de matins, il chassait les gens les uns après l'autre – arrivant au point de n’écouter que très peu 
de confessions. Il avait aussi un panneau attaché à l'entrée de l'église, déclarant: 



«Par souhait explicite du Padre Pio, les femmes doivent entrer dans son confessionnal, et porter des jupes au moins huit centimètres au-dessous des genoux. Il est de plus interdit d'emprunter des robes à l'église et de les porter pour le 





confessionnal »


Padre Pio reprenait certaines femmes avec les mots," Allez vous habiller "Il ajoutait parfois: «Bande de clowns! » 

Il ne donnait pas à quiconque un laissez-passer, que ce soit des gens qu'il connaissait ou voyait


pour la première fois, ou des filles spirituelles expérimentées. 

Dans de nombreux cas, les jupes ont été en dessous des genoux, mais elles n'étaient pas encore assez longues au goût de Padre Pio.

 Les garçons et les hommes devaient également porter des pantalons longs s'ils ne voulaient
pas être expulsés de l'église.

63 John McCaffery, Blessed Padre Pio, Roman Catholic Books, Fort Collins, CO. p. 88.

65 C. Bernard Ruffin, Padre Pio: The True Story, Our Sunday Visitor, Huntington, IN. p. 299.


66 Dorothy Gaudiose, Prophet of the People, Alba House, NY, NY. p. 191.

Autres religions

Pour Mgr George Pogany 
(qui connaissait personnellement Padre Pio),celui-ci a dit à propos de Padre Pio et de sa vue sur les autres religions. 

"... Padre Pio insistait pour que la foi catholique soit la seule religion fondée par Jésus-Christ. Il acceptait
tout le monde comme un homme, mais il était convaincu que les autres religions étaient fondées par des 
hommes différents, comme par Luther, comme Calvin, Zwingli ou par ... "205





"Seule l'Église catholique possède 

Jésus dans le Saint Sacrement."


Padre Pio .*





205 C. Bernard Ruffin, Padre Pio: The True Story, Our Sunday Visitor, Huntington, IN. p. 417

(section tabernacle)

http://caccioppoli.com/Padre%20Pio%20words.html




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nb ; c'est pour l'instant la fin de mes histoires sur Padre Pio 
      
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sources

Extrait : Fioretti de Padre Pio /Pascal Cataneo 1990 / 

 
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=it&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.sanpiodapietrelcina.org%2Ffioretti.htm

http://la-foi.fr/preuves/pdf/PadrePio-fr.pdf


http://books.google.fr/books?id=NlwDTQxaVcAC&pg=PA34&lpg=PA34&dq=J.+Bardazzi+Padre+Pio&source=bl&ots=bV6zjfTcfY&sig=YRAQbsXUMFAEP5F2c3yIm0D-Dhk&hl=fr&sa=X&ei=mR1KUaSRGoG8PeuVgcgB&ved=0CDAQ6AEwAA#v=onepage&q=J.%20Bardazzi%20Padre%20Pio&f=false


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