vendredi 13 novembre 2015

Purgatoire : Dans l’église du Sacré-Coeur du Suffrage à Rome, il existe le musée du Purgatoire

LE MUSEE DU PURGATOIRE







 Le petit musée du Purgatoire est due à un prêtre français, le Révérend Père Victor Jouët (1839-1912), missionnaire du Sacré-Coeur d’Issoudun.








Nommé à Rome, il achète en 1893 un terrain pour y construire une église dédiée au Sacré-Coeur de Jésus. 
Les travaux commencés en 1894 dureront jusqu’en 1917, mais en attendant qu’elle soit achevée, le culte est célébré dans un édifice provisoire.




Le 15 septembre 1897, un incendie éclate dans cette église provisoire : on parvient à le circonscrire mais, sur la paroi voisine de l’autel de la Madone du Rosaire,

les flammes et la fumée semblent avoir dessiné un visage humain souffrant.







Le Père Jouët fut impressionné par ce phénomène et y il vit un signe : à travers cet incendie, qui n’avait pas commis de gros dégâts mais avait laissé cette trace, n’y aurait-il pas une indication providentielle?







Il réfléchit, pria, demanda conseil, fit des recherches…  Il arriva à la conviction qu’il y avait eu là une manifestation d’ordre préternaturel : ce visage dessiné par les flammes était celui d’un défunt qui demandait des prières, des suffrages, pour être délivré du Purgatoire et entrer au Ciel. 







L’église serait donc bien dédiée au Sacré-Coeur de Jésus, oui, mais on y prierait spécialement le Coeur de Jésus à l’intention des fidèles défunts, d’où ce nom particulier
d’église du Sacré-Coeur du Suffrage.







Dans des recherches, qui durèrent plusieurs années, le Révérend Père Jouët recueillit des témoignages sur les manifestations des âmes du Purgatoire et des objets qui en gardent la trace.





Le 4 août 1905, au Vatican, il présenta au Pape Saint Pie X cette singulière collection.

Le saint Pontife lui accorda beaucoup d’attention, manifesta sa satisfaction et approuva que ces objets soient dorénavant exposés, pour que les fidèles soient confortés dans la Foi catholique au sujet des fins dernières.


SOURCE

http://leblogdumesnil.unblog.fr/2010/11/23/2010-49-a-rome-leglise-du-sacre-coeur-du-suffrage-et-le-musee-du-purgatoire/


Le blog Tradition in action ajoute ceci :



Avec le soutien du pape saint Pie X, Fr. Jouet a voyagé à travers la Belgique, la France, l'Allemagne et l'Italie 
pour faire la collecte de ces reliques comme preuves de l'existence du purgatoire 


Le Petit Musée a ouvert officiellement au public la même année que  l'Eglise qui fut ouverte au culte en 1917. 


Fr. Le successeur de Jouet, Fr. Gilla Gremigni,a fermé le musée en 1920, soi-disant pour lui donner le temps pour authentifier les pièces. Il est resté fermé pendant 30 ans. (Wikipédia confirme en partie les restrictions du Père Gremigni)






Aujourd'hui, il est ouvert mais
dans les années 1990 il a été question au Vatican de la fermeture du musée.
http://www.traditioninaction.org/religious/e048-Museum_1.htm



Les plus anciennes pieces dates de 1696 et les plus recentes de 1919 et après la mort de Victor Jouët (1839-1912),la collection a été réduite.







Commentaire : mes préférés sont les numéros 2 et 5



NUMERO 1











1. Reproduction photographique de l’autel de la Madone du Rosaire d’une chapelle qui existait avant 1900 entre l’église actuelle et la maison religieuse. L’image, restée sur le mur après le petit incendie survenu le 15/11/1897, est visible - 1a et 1b


numero 2















2. Empreinte de 3 doigts laissée le dimanche 5 mars 1871 sur le livre de devotion de Marie Zaganti de la paroisse de S. Andrea del Poggio Berni (Rimini) par la défunte Palmira Rastelli, soeur du curé et morte le 28 décembre 1870. 
Par l’intermédiaire de son amie, elle demandait à son frère, Don Sante Rastelli, de dire des Messes pour elle


NUMERO 3










3.Apparition, en 1875, de Louise Le Sénèchal, née à Chanvrières et morte le 7 mai 1873, à son mari Louis Le Sénèchal dans leur maison de Ducey (Manche-France) pour lui demander des prières. Elle lui laissa comme signe l’empreinte de 5 doigts sur son bonnet de nuit. Selon le récit authentique de l’apparition la brûlure sur le bonnet fut faite par la défunte Le Sénèchal pour que son mari la présente à leur fille comme preuve visible de sa demande pour que des messes soient célébrées


NUMERO 4











4. Fac-similé photographique (l’original est conservé à Winnenberg) d’une empreinte de feu,laissée le samedi 13 octobre 1696 sur 
le tablier de Soeur Maria Herendorps, soeur converse du monastère bénédictin de Winnenberg près de Warendorf (Westphalie) 
par la main de la défunte Soeur Chiara Schoelers, soeur choriste du même ordre, morte de la peste en 1637. 
Au  bas de la photo, il y a une empreinte brûlée de 2 mains, laissée par la même Soeur sur une bande de toile .



NUMERO 5













5. Photo d’une empreinte laissée par la défunte dame Leleux sur la manche de la chemise de son fils Joseph pendant son apparition la nuit du 21 juin 1789 à Wodecq (Belgique): selon le récit du fils, la mère était morte depuis 27 ans lorsqu’elle lui apparut la nuit du 21 juin 1789.

 Les onze nuits précédentes, il avait entendu des bruits qui l’avaient épouvanté et presque rendu malade. La mère lui rappelait les obligations de saintes messes léguées par le père et lui reprochait sa vie dissipée.



 Elle le priait de changer de conduite et de travailler pour l'Eglise. C’est pourquoi elle lui posa la main sur la manche de sa chemise en y laissant une empreinte très visible.

Joseph Leleux se repentit et fonda une Congregation. 
Il mourut en odeur de sainteté le 19 avril 1825.


Commentaire : 

Il existe un Joseph Leleux - moine laïc ouvrier, né le 10 mai 1757 et est mort le 19 avril 1825.



http://www.ellezelles.com/cher/joseph-leleux.html


"C'était en l'année 1789.



J'ai entendu de grands bruits, j'étais fort épouvanté ; cela dura onze nuits. Ne pouvant ni boire ni manger, ma santé dépérissait. Je n'étais comme plus de ce monde. 

Enfin, la nuit du 21juin, une femme tout environnée de flammes m'est apparue, me disant :

Mon fils, quitte les cabarets et les danses, sinon tu n'entreras jamais dans le royaume des cieux. Ton père doit quatre sacrifices au Très Haut. 

Je dis d'abord : Pardon ma mère. 

Elle répondit : c'est au Très Haut qu'il faut demander pardon. Change de vie, prie beaucoup pour l'Eglise, 

puis elle ajouta : donne-moi ta main.

En même temps, elle appliqua sa main sur l'épaule de son fils dont le linge fut brûlé de manière que, sur le linge conservé, on voit l'empreinte de la main d'une femme. Puis elle disparut."

Conversion et parcours jusqu'à Valloires.

Le lendemain matin, Joseph Leleux va raconter les faits à son curé et à son confesseur.
Les messes sont célébrées de suite. Sa mère est délivrée du Purgatoire. 

Il y avait 27 ans qu'elle était trépassée et lui n'avait pas même 5 ans.

Sa vie bouleversée, Joseph se convertit.

Une famille spirituelle se forme autour de lui et vit sous espèce de règle religieuse :

Ghislain-Joseph-Leleux, dit le " Bon Joseph ", de Wodecq, 1er chef.
Pascal-Joseph Scouppe, de Rebaix, 2ème chef.
Joseph Scouppe, de Rebaix, 3ème chef
Philippe Caudron, de Ghlin.
Jean-Baptiste Menu, de La Hamaide.
François Marbaix, de Wodecq, fils de Jean-François et de Marie-Louise Noncjean.
Jean-Baptiste Guerlus, de Wodecq.
Benoît Claro, de Cambrai, prêtre ordonné le 22 décembre 1770, réfugié à Monset de 1805 à 1816 retiré à Dergneau.
François Noncjean, de Wodecq, parent.
Fidel Cambier, de Bruile.

Ils ne sont pas des religieux mais vivent comme des religieux. Ce sont des ouvriers et gagnent leur vie en travaillant. Ils choisissent Saint Basile comme Patron.


Ce petit groupe fréquente assez régulièrement, durant les mauvaises années de la Révolution le village de La Hamaide où le père Victor célèbre la messe clandestinement au premier étage d'une maison particulière.

Les moines bleus.
Leur costume est la tenue ordinaire des travailleurs manuels et la couleur bleue à toujours leurs préférences. Toutefois, le dimanche, ils portent une tenue spéciale uniforme.

De Mons à Valloires.
La petite communauté qui s'était formée s'installe au début de juillet 1800 dans une dépendance de l'ancien fort Lillo situé dans l'enceinte de Mons. Bientôt au nombre de douze. Elle s'adonne à des exercices de piété et de travail. Les membres s'appliquent au tissage, à la teinture et au blanchissage du linge.
Joseph Leleux fonde quelques autres petites communautés à Monceau, Maresquel.


Après Waterloo, en 1815, et le rattachement de la Belgique à la Hollande, le Fort Lillo va peut être reprendre sa destination première, la défense contre la France.



Aussi, Joseph Leleux pense au déménagement de sa communauté.En 1816, des informations le renseignent sur la possibilité d'acquérir une ancienne abbaye se trouvant à Valloires en Picardie.


Les " Frères " achètent le vieux bâtiment et entreprennent les réparations urgentes : la toiture, les murs de clôture


Devant les conseils qui sont faits à la société par la Sacrée Congrégation de puiser simplement dans les règles de saint Basile et de les soumettre à l'approbation de leur évêque, 


Bon Joseph craignant toujours les persécutions, préfère que ses communautés gardent leur laïcité et leur autonomie.


En avril 1825, Joseph Leleux réunit ses adeptes et leur parle de sa mort prochaine. Il les exhorte à continuer l'observance de la règle et émet le vœu de voir le frère Bonaventure lui succéder.




Le 19 avril, il s'éteint lentement. Son corps est placé dans un caveau creusé au milieu de la nef de l'église abbatiale. La dalle à la forme d'un losange.



http://www.ellezelles.com/cher/joseph-leleux.html




Commentaire :

Valloires fut en effet vendue en 1817 à une société religieuse dite des "Basiliens" fondée par  Joseph Leleux et qui s'était d'abord installée à Fort-Lillo en Belgique.



 Les Frères Basiliens cultivèrent les terres environnant l'abbaye. Ils allaient vendre leur récolte dans les marchés où ils étaient facilement reconnaissables grâce à leur costume fait d'une blouse de toile bleue, d'un bonnet de même couleur.




 En 1870, les jeunes Basiliens partirent à la guerre et n'étant plus assez nombreux pour entretenir l'ensemble des bâtiments, ils acceptèrent en 1880 l' installation d'un orphelinat agricole qui dura jusqu'à 1901. 

Après cette date, l'abbaye fut sauvée de la démolition in extremis par son classement par les Monuments Historiques. Les lieux restèrent vides pendant sept ans jusqu'au moment où en 1914 les Belges  y créèrent un hôpital militaire. Après la guerre en 1922, une infirmière dévouée Mademoiselle Papillon créa dans l'abbaye un préventorium pour des enfants menacés par la tuberculose. 

Elle fut aidée dans cette tâche par deux demoiselles belges originaires de Charleroi, les sœurs de Kegel  qui se dévouèrent durant toute leur vie pour les enfants de Valloires.

http://www.1914-1918.be/service_sante_de_vrin.php

On en sait encore plus ici.

En (1790), l'Abbaye ( de Valloires) devint bien National.

En (1791), elle fut achetée par un aristocrate spéculateur Ambroise-Léopold Jourdain de l'Eloge 
qui avait racheté la seigneurie d'Argoules en (1776). 
Grâce au châtelain d’Argoules les bâtiments échappèrent à la destruction. 

A sa mort en (1816), ses héritiers vendirent l'abbaye aux Basiliens.



 En Mai (1817), la "Société des Basiliens" venue de Mons en Belgique s'installe à Valloires. Cette "confrérie laïque d'artisans chrétiens" rassemble des hommes qui s'adonnent aux travaux manuels, à l'enseignement et à la prière. 


Ils se spécialisent dans la facture d'orgues jusque (1860). Puis la communauté décline.

En (1880), l'évêque d'Amiens fait appel aux religieux de St Vincent de Paul, congrégation religieuse catholique, qui en fit un orphelinat en (1887). 

Mais la loi sur les congrégations provoque l'expulsion de la communauté et la mise en vente de l'abbaye en (1906).

L'abbaye fut sauvée par l'action de Roger Rodières, archéologue et historien, du journaliste André Hallays et du notaire de Rue, maître Gosselin. Elle fut classée "Monument Historique en (1907)" mais resta sans affectation jusque (1915). De (1915) à (1919), elle fut transformée en hôpital militaire Belge.

http://monumentshistoriques.free.fr/abbayes/valloires/valloires.html

Entre 1817-1880 :

* 1817 - 1880 : L'Abbaye de Valloires devient la propriété de la "Société Laïque des Basiliens, fondée par le Belge Joseph Leleu".

* 1845 : Restauration de l'orgue de l'Abbatiale par le facteur d'orgue Zimmermann.

* 1849 : Réaménagement partiel du site de l'Abbaye par les Basiliens.

* 1850 : Construction d'une grange à l'extrémité de l'aile Nord-Ouest des bâtiments claustraux et percement de deux portes latérales dans la façade principale Sud.

1870-1871 Guerre entre la France et la Prusse.


* 1884 : L'Abbaye devient la propriété de l'orphelinat agricole de la société de Saint Vincent de Paul.

http://monumentshistoriques.free.fr/abbayes/valloires/chronologie.html


Ou est Joseph Leleux ?

Il y a un cimetiere des Basiliens à Valloires mais 


Joseph Leleux se trouverait dans la nef avec d'autres personnages illustres car son épitaphe y est :





Ambroise-Léopold Jourdain de l'Eloge est inhumé à Valloires

et Comeau était le prieur de l'Abbaye de 1737 à 1767.


Numéro 6









6. Empreinte de feu laissée par un doigt de la pieuse Soeur Maria di San Luigi Gonzaga apparue à Soeur Marguerite du Sacré Coeur entre le 5 et le 6 juin 1894.Le récit du fait,conservé au monastère de Santa Chiara del Bambino Gesù a Bastia (Perugia) raconte
comment la Soeur Maria di San Luigi Gonzaga souffrant depuis deux ans de phtisie avec de fortes fièvres, toux, asthme et hémophtisie fut prise de découragement et par là même du desir de mourir tout de suite pour ne plus souffrir.
Cependant, étant très fervente, exhortée par la Mère Supérieure elle s’en remit avec calme à la volonté de Dieu. Quelques jours plus tard, le matin du 5 juin 1894 elle expira saintement.

Elle apparut dans la nuit entre le 5 et le 6 juin vêtue en Clarisse, entourée d’ombres mais reconnaissable. A Soeur Marguerite, émerveillée, elle répondit qu’elle était en Purgatoire
pour expier son mouvement d’impatience devant la volonté de Dieu. Elle demanda des prières et, pour attester la réalité de son apparition,

 elle posa l’index sur l’enveloppe du coussin et promit de revenir.
Elle réapparut à la même Soeur entre le 20 et le 25 juin pour remercier et donner des conseils spirituels à la Communauté avant de s’envoler au ciel.,



NUMERO 7



























7. Empreintes laissées sur une petite table de bois, sur la manche de la tunique et sur la
chemise de la vénérable Mère Isabelle Fornari, abbesse des Clarisses du Monastère de S.Francesco à Todi, des mains du défunt père Panzini, abbé Olivetain de Mantoue, le 1er novembre 1731.

 Il y a quatre empreintes: une de la main gauche sur la petite table dont se

servait la vénérable Abbesse pour son travail (elle est bien visible avec un signe de croix imprimé profondément dans le bois) (7a).

 La seconde de la même main gauche, sur une feuille de papier. Une autre empreinte de la main droite sur la manche de la tunique (7b). 


La quatrième est la même impression qui, transperçant la tunique, a brûlé la toile de la chemise de la Soeur, tachée de sang.


La relation du fait est donnée par le Père Isidore Gazala del SS. Crocifisso confesseur de la Vénérable (religieuse) à laquelle il ordonna, au nom de l’obéissance, de couper les morceaux de la


tunique, de la chemise et de la petite table afin qu’ils puissent lui être consignés et ainsi conservés.


Commentaire : il existe une Soeur Chiara isabella Fornari ( 1696-1744) qui
a vécu à la même période que cette histoire.





Numéro 8











8. Empreinte laissée sur un livre de Marguerite Demmerlé, de la Paroisse de Ellinghen (Diocèse de Metz), par sa belle-mère, qui lui apparut 30 ans après sa mort (1785-1815).

La défunte apparut dans le costume du pays comme pélerine. Elle descendait l’éscalier du grenier en gémissant et en regardant sa bru avec tristesse, comme pour lui demander quelque chose. Marguerite Demmerlé, conseillée par son curé et lors d’une apparition suivante lui adressa la parole. Elle reçut comme réponse: «Je suis ta belle-mère, morte en couches, il y a 30 ans


Va en pelerinage au Sanctuaire de Notre Dame de Mariental et fais y célébrer deux saintes messes pour moi». Après le pelerinage, la belle-mère fit de nouveau une apparition pour annoncer à Marguerite sa libération du Purgatoire. 

A la bru qui selon les conseils du curé, demanda un signe, elle laissa, en posant la main sur le livre de «L’imitation de Jésus-Christ», le signe de la brûlure. Ensuite, elle n’apparut plus.




Numéro 9




9. Empreinte de feu que laissa le défunt Joseph Schitz en touchant, avec l’extremité des cinq doigts de la main droite, un livre de prières en langue allemande, appartenant à son frère Georges, le 21 décembre 1838 à Sarralbe (Lorraine). Le défunt demandait des prières pour l’aider à réparer le peu de piété dans sa vie.

Numéro 10










10. Photocopie d’un billet de 10 lires. Entre le 18 août et le 9 novembre 1919, il en fut laissée 30 en tout, près du monastère San Leonardo de Montefalco, par un prêtre défunt qui demandait l’application de messes. (L’original de ce billet de banque a été remis au monastère de San Leonardo, où il est conservé).

Sources

la liste des objets http://www.lastree.net/fragmentslog/fragments/Purgatoire%20i.pdf

VIDEOS

https://www.youtube.com/watch?v=pPM1VuoxfuI

https://www.youtube.com/watch?v=ztGekQa7rWg

http://www.dailymotion.com/video/x4racn_musee-des-ames-du-purgatoire_news

les horaires du musée
Si vous souhaitez  voir le musée, vous devez aller quand l'église est ouverte. Il est ouvert du lundi au vendredi de 7h30 à 11h et 16h à 19h. Pour autant que je sais, il est fermé pour le déjeuner de 11h à 16h00.


Ies messes quotidiennes sont 07h30, 10 heures et 19 heures. Les messes du dimanche sont 8h, 10h30, 12h et 19 heures. Habituellement, le musée est ouvert lorsque l'église est ouverte pour les messes.

https://catholicismpure.wordpress.com/2013/11/14/scientific-proof-of-the-poor-souls-in-purgatory-in-rome/

https://books.google.fr/books?id=osGrCgAAQBAJ&pg=PT46&lpg=PT46&dq=Victor+Jou%C3%ABt+(1839-1912),&source=bl&ots=D2PQLvmHkf&sig=eWNHQOu-SgYN38vMiAlfi9suQm8&hl=fr&sa=X&ved=0CCAQ6AEwAGoVChMIj7WLtpCOyQIVyOcaCh2jjgPj#v=onepage&q=Victor%20Jou%C3%ABt%20(1839-1912)%2C&f=false


http://www.atlasobscura.com/places/museum-holy-souls-purgatory

http://glasbrotnja.net/vijesti/svijet/muzej-cistilista-u-vatikanu-sto-cemo-s-cistilisnom-i-paklenom-stvarnoscu-na-zemlji


http://lepeupledelapaix.forumactif.com/t15857-musee-du-purgatoire-a-rome-dans-l-eglise-du-sacre-cour


http://www.lastree.net/log/2006/01/le_musee_des_am.php

http://www.lastree.net/situationslog/2006/01/le_livre_de_dev.php


http://www.placidasignora.com/2012/10/19/storie-brividose-il-museo-delle-anime-del-purgatorio-a-roma/


http://amici-in-allegria.blogspot.fr/2010/10/il-museo-delle-anime-del-purgatorio.html

http://www.viaggiart.com/it/place/3852/piccolo-museo-delle-anime-del-purgatorio

https://caputmundisecretaest.wordpress.com/category/fantasmi/


http://www.antoniocardiel.com/?page_id=3623


http://www.aleteia.org/en/religion/interview/interview-with-priest-from-romes-purgatory-museum-5790394755317760?page=2

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