vendredi 20 mars 2020

Coronavirus et medaille miraculeuse. ?!

CORONAVIRUS ET MEDAILLE MIRACULEUSE ?!

LA MEDAILLE MIRACULEUSE POURRAIT NOUS SAUVER DU CORONAVIRUS COMME ELLE A SAUVE LA FRANCE DU CHOLERA EN ,1832

LES APPARITIONS DE LA RUE DU BAC- 1830.

                   

Catherine Labouré naît à Fain-Lès-Moutiers, en Côte-d’Or, en 1806. Elle est la huitième enfant d’un fermier dont l’épouse, née Louise Gontard, décède dès 1815. La petite fille, surnommée rapidement Zoé, est pieuse. Elle développe une affection toute particulière pour la vierge Marie. Peut-être pour pallier une absence maternelle. En dépit d’une certaine aisance de la famille, très jeune et avec une remarquable constance, Catherine aide son père dans tous les divers travaux de la ferme et de la maison. De fait, elle ne fréquente pas l’école.

Enfance bourguignonne, adolescence parisienne
Une nuit, Catherine fait un rêve particulier : elle a la vision de Vincent de Paul. Le futur saint l’incite à entrer dans l’ordre des Filles de Charité. Mais il se trouve que Pierre Labouré a un autre projet pour son rejeton : il a l’intention de la marier. Aussi, il expédie rapidement sa fille à Paris pour travailler chez un de ses frères, dans une cantine pour les ouvriers. Catherine, forcée d’obéir aux ordres paternels, découvre donc la capitale et la misère du peuple. La voilà aussitôt confortée dans son désir d’altruisme et dans sa vocation.

Religieuse ordinaire
Dès lors la jeune fille ose tenir tête à son père. A dix-huit ans, la petite paysanne analphabète apprend à lire et à écrire, deux conditions qui lui paraissent essentielles pour entrer au service du Christ. Durant trois mois, elle est mise à l’épreuve dans un établissement des sœurs de la Charité, à Châtillon-sur-Seine.

Puis, à Paris, rue du Bac, elle commence son noviciat, à la maison-mère de l’ordre. Après avoir prononcé ses vœux, Catherine est envoyée à l’hospice d’Enghien, dont la mission est essentiellement d’accueillir et de soigner des vieillards.

La nuit du 19 juillet 1830, lors de son noviciat, la religieuse révèle, avec humilité et modestie, à son confesseur qu’elle a été tirée de son sommeil par un petit enfant qui lui a dit simplement : « Ma sœur tout le monde dort bien, venez à la chapelle. La sainte Vierge vous attend. » Ayant suivi le petit enfant en question, Catherine découvre la sainte Vierge. Pendant deux heures, la mère du Christ lui parle et lui confie que Dieu va lui assigner une mission. Une mission difficile précise-t-elle.

                         


Catherine voit à nouveau la Vierge, le 27 novembre 1830, lors de la méditation du soir. Cette fois, Marie est debout, à ses pieds se trouve un serpent aux anneaux de différentes couleurs d’où jaillissent des rayons de lumière. Autour de cet objet de forme ovoïde, Catherine peut lire : « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. » La Vierge explique alors qu’il s’agit de l’image des grâces qu’on a oubliées de lui demander. L’image semble alors se retourner. Comme le revers d’une médaille. Apparaît alors un M majuscule, surmonté d’une croix sous laquelle sont figurés deux cœurs : celui de Marie, percé par un glaive, et celui de Jésus, couronné d’épines. Douze étoiles entourent ce tableau. Marie demande à Catherine de porter ces images à son confesseur.

                             


Elle la prie également de les faire frapper sur des médailles, ajoutant que toutes celles et tous les porteurs de cette médaille recevront ses grâces.

Médailles approuvées par l’archevêché de Paris

Au terme de deux années d’enquête et d’observation sur la conduite de Catherine, l’archevêque de Paris décide de faire frapper des médailles conformes à celles décrites par la religieuse. Dès leur mise en vente, ces médailles, censées protéger et guérir, sont très populaires, notamment en 1832, alors que sévit une terrible épidémie de choléra.

Catherine Labouré meurt le 31 décembre 1876. Son corps exhumé, en 1933, est retrouvé en parfait état. Il repose au 140, rue du Bac, à Paris, en la chapelle miraculeuse.

https://www.bienpublic.com/cote-d-or/2013/07/28/catherine-laboure-et-la-medaille-miraculeuse

L'EPIDEMIE DE CHOLERA DE 1832

Vers 1826, le choléra fait son apparition en Inde, gagne Moscou et la Russie en 1830, y provoquant des émeutes, et de là la Pologne et la Finlande. Il atteint Berlin en 1831, les îles Britanniques en février 1832 (provoquant également des émeutes) et la France en mars de la même année. Des immigrants irlandais l'amènent au Québec, toujours en 1832, tuant 1 200 personnes à Montréal et 1 000 dans le reste de la province ; la maladie s'étend en Ontario et en Nouvelle-Écosse. Des passagers la font entrer aux États-Unis par Détroit et New York. La pandémie atteint l'Amérique du Sud en 1833 et perdure jusqu'en 1848, faisant 52 000 victimes en deux ans (la bactérie de cette éclosion semble avoir produit davantage de toxines.


                         


En févraire plus de 20.000 morts ! Les Filles de la Charité commencent à distribuer, en juin, les 2.000 premières médailles frappées à la demande du Père Aladel.  Les guérisons se multiplient, comme les protections et les conversions. C’est un raz-de-marée. Le peuple de Paris appelle la médaille « miraculeuse ».

A l’automne 1834 il y a déjà plus de 500.000 médailles. En 1835 il y en a plus d’un million dans le monde entier. En 1839 la médaille est répandue à plus de dix millions d’exemplaires.
A la mort de sœur Catherine, en 1876, on compte plus d’un milliard de médailles !




JULIE JAHENNY ET, LA MEDAILLE MIRACULEUSE ET
....LE CORONAVIRUS

                             

EXTASE 19 AVRIL 1923

Extrait
Trempez une médaille de mon Divin Cœur, une médaille où est tracée ma Croix adorable, dans un verre d'eau, que cette image soit en carton ou en métal.
Vous boirez de cette eau, deux fois bénite, deux fois purifiée.
Une seule goutte dans vos aliments, une toute petite goutte suffira pour éloigner non pas le fléau, mais l
les fléaux de ma Justice.  

Vous donnerez une goutte de cette eau aux pauvres âmes atteintes par les fléaux de maladies inconnues

»

http://madonedesroses.canalblog.com/archives/2011/08/14/21787839.html

http://www.marie-julie-jahenny.fr/medaille-miraculeuse.htm

http://vincentdetarle.free.fr/catho/findestemps2.htm





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