2,516 – Message from Our Lady Queen of Peace, transmitted in 4/30/2005
Dear children, bend your knees in prayer for peace in the world. Humanity lives in great stress and is heading towards self-destruction. An arrogant man will make an agreement with Iran. He will seems to want peace, but in truth he will be a thorn for many nations. The terrorists, led by one who looks like a prophet, will bring suffering and pain to the nest of the eagle and to the land of the Savior. Behold, the times predicted by Me have come. Pray. Pay attention. I am your Mom and I am with you. Forward with hope. This is the message I give you in the name of the most Holy Trinity. Thank you for permitting me to reunite you here once more. I bless you in the name of the Father, and of the Son, and of the Holy Spirit. Amen. Stay in peace.
2,516 - Message de Notre Dame Reine de la Paix, transmis en 30/04/2005
Chers enfants, agenouillez vous en priant pour la paix dans le monde.
L'humanité vit dans un grand stress et se dirige vers l'autodestruction.
Un homme arrogant (Obama) fera un accord avec l'Iran.
Il semblera vouloir la paix, mais en vérité, il sera une épine pour beaucoup de nations.
Les terroristes, dirigés par celui qui ressemble à un prophète, apporteront des souffrances et des souffrances au nid de l'aigle (USA) et à la terre du Sauveur. (israel)
Voici, les temps prévus par moi sont venus. Prier. Faites attention. Je suis votre maman et je suis avec vous. En avant avec espoir. C'est le message que je vous donne au nom de la Très Sainte Trinité. Merci de m'avoir permis de vous réunir une fois de plus.
Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen. Restez en paix.
)
Le Monde indique qu'à partir du mois de mars 2013,
« des contacts secrets ont lieu dans le sultanat d'Oman entre des émissaires américains et iraniens. L'initiative a reçu la bénédiction du Guide suprême iranien, Ali Khamenei.
Malgré sa bruyante rhétorique anti-américaine,
ce dernier est un stratège hors pair. Il sait parfaitement ce qu'une ébauche de réconciliation avec le " Grand Satan " peut apporter à son pays, étranglé par les sanctions,
mais surtout ce que l'Iran, oasis de stabilité dans un Moyen-Orient à feu et à sang, de la Méditerranée au Pakistan [dans le contexte du printemps arabe], peut apporter aux États-Unis, qui s'apprêtent à quitter l'Afghanistan comme ils ont quitté l'Irak.
Il sait aussi combien ce rapprochement avec Washington va déstabiliser ses deux ennemis régionaux : Israël et l'Arabie saoudite.
Trois mois plus tard, les électeurs iraniens donnent au Guide suprême ce qui lui manquait pour permettre un retour de l'Iran sur la scène internationale : un président présentable.
Hassan Rohani, élu au premier tour le 14 juin, est le négociateur qui avait signé, en 2003, un gel provisoire du programme nucléaire iranien.
Ce dernier s'entoure immédiatement d'un ministre des affaires étrangères ayant passé davantage de temps aux Etats-Unis qu'en Iran, Mohamad Javad Zarif, et intensifie les contacts secrets avec la Maison Blanche pour relancer les négociations nucléaires.
Celles-ci impliquent en théorie les cinq membres du Conseil de sécurité des Nations-Unies plus l'Allemagne, mais ressemblent à un tango irano-américain.
Fin septembre, Hassan Rohani se rend à New York pour l'Assemblée générale des Nations unies. Dans les coulisses, Iraniens et Américains ont presque finalisé un texte.
Et le dernier jour, Hassan Rohani converse quinze minutes au téléphone avec Barack Obama.
Ce coup de fil tectonique sème la panique à Riyad et Tel Aviv, où l'on sent que l'équilibre géopolitique du Moyen-Orient est en train de basculer ».
Ces relations aboutissent à l'accord international sur le programme nucléaire iranien le 24 novembre 2013.
L'universitaire Fabrice Balanche estime lui aussi que, dans un contexte où « les Américains ont décidé d'alléger leur dispositif militaire [au Moyen-Orient] pour se concentrer vers d'autres priorités, comme l'Asie-Pacifique », ce réchauffement a lieu « parce que l'Iran apparaît de plus en plus comme un partenaire fiable aux yeux des États-Unis, en tout cas beaucoup plus fiable que la gérontocratie saoudienne »
SOURCES
https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_pr%C3%A9liminaire_de_Gen%C3%A8ve_sur_le_programme_nucl%C3%A9aire_iranien
Obama satisfait de la mise en oeuvre de l'accord nucléaire avec l'Iran
http://www.rfi.fr/ameriques/20160117-etats-unis-barack-obama-iran-nucleaire-levee-sanctions-echange-prisonniers-tehera
TRUMP
Dans une intervention, mardi 5 septembre, devant le think tank American Enterprise Institute, l’ambassadrice des États-Unis à l’ONU Nikki Halley a clairement préparé le terrain.
http://www.la-croix.com/Monde/Ameriques/Etats-Unis-Donald-Trump-prepare-denoncer-laccord-nucleaire-iranien-2017-09-06-1200874758
« Les dirigeants iraniens veulent utiliser l’accord nucléaire pour prendre le monde en otage, a-t-elle lancé. Si nous continuons à dire ‘on s’en occupera plus tard’, nous allons avoir à faire à la prochaine Corée du Nord. »
http://fr.timesofisrael.com/nikki-haley-fustige-laccord-nucleaire-iranien-juge-faillible-et-limite/
TRUMP DENONCE L'ACCORD SUR LE NUCLEAIRE IRANIEN
http://www.lefigaro.fr/international/2018/05/08/01003-20180508ARTFIG00199-iran-trump-dechire-l-accord-sur-le-nucleaire.php
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LES CONTRE
L'ACCORD IRANIEN
UN MAUVAIS ACCORD SELON LE FIGARO
Préférable à la guerre, l'accord n'en était pas moins «un mauvais compromis» qui s'était éloigné des exigences initiales de la communauté internationale en accordant un droit d'enrichissement à l'Iran.
Non seulement le pays a été autorisé à conserver son infrastructure nucléaire au mépris des résolutions des Nations unies, mais ses principales dispositions sont appelées à disparaître en 2025.
Mais surtout, l'accord sur le nucléaire n'a pas eu les effets vertueux qu'espéraient les Occidentaux. «Le grand retournement géopolitique anticipé par Obama n'a pas eu lieu», déplore Jean-Sylvestre Mongrenier dans une note de l'Institut Thomas More.
«En lieu et place de la démocratie islamique de marché, apaisée et insérée dans la mondialisation, un front russo-chiite traverse le Moyen-Orient». Il aura fallu moins de trois ans pour que le mauvais génie sorte de sa bouteille, écrasée par les grosses bottes de Donald Trump, qui quelques semaines auparavant avait renversé la table avec la Corée du Nord. Le président américain mise sur l'asphyxie économique des sanctions pour réduire l'influence iranienne au Moyen-Orient, ramener Téhéran à la table des négociations.
http://www.lefigaro.fr/international/2018/05/16/01003-20180516ARTFIG00327-le-retrait-americain-de-l-accord-sur-le-nucleaire-iranien-change-la-donne-au-moyen-orient.php
Le plan d'action global conjoint, le plus mauvais des plus mauvais accords?
Le groupe des P5+1,- la Chine, la France, la Russie, le Royaume Unis, les USA et l'Allemagne, - ont signé le 14 juillet 2015 un accord supposé limiter les ambitions nucléaires militaires de Téhéran. Pour ses partisans, Obama en tête, il s'agissait du moins mauvais accord possible.
L'essentiel était d'instaurer une confiance mutuelle et avec la levée des sanctions d'entraîner le régime des Mollahs dans un cercle vertueux de développement économique plutôt que dans une "course à l'armement", limitant ainsi ses visées hégémoniques.
Ses détracteurs lui reprochent d'être inefficace car ne permettant pas aux experts de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA) d'inspecter les sites militaires les plus sensibles et qu'à son terme, le 18 octobre 2025, rien n'empêchera l'Iran de se doter de l'arme atomique. Il faut rajouter à cela, la poursuite d'un inquiétant programme de missiles balistiques à longue portée qui serait d'autant plus menaçant que le programme nucléaire militaire ne se serait jamais vraiment arrêté.
Trois ans après, l'accord de 2015 n'a pas vu se réaliser les conséquences attendues par ses concepteurs, bien au contraire. Grâce à la levée des sanctions, Téhéran a accru son implication dans le conflit syrien, mais également en Irak, au Liban ou au Yémen, directement, ou via ses supplétifs tels que le Hezbollah ou d'autres milices chiites comme les Houthis
https://www.huffingtonpost.fr/hagay-sobol/4-raisons-de-changer-l-accord-sur-le-nucleaire-iranien-malgre-le-retrait-des-etats-unis_a_23427311/
LES POUR
Dans son allocution télévisée, Trump a déclaré que l’Iran fraudait et contournait l’accord –mais si l’on en croit les directeurs de ses propres services de renseignement, rien ne permet de l’affirmer.
Depuis la signature de l’accord, l’Agence internationale de l’énergie atomique a rendu dix rapports certifiant que l’Iran respectait ses engagements. Le mois dernier, un comité du Sénat américain a interrogé James Mattis, secrétaire à la Défense des États-Unis; ce dernier a déclaré qu’après avoir lu l’accord de 140 pages à trois reprises, il avait été frappé par la «robustesse» de ses dispositions de vérification.
Sans oublier que les partisans les plus influents de la décision de Trump –le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, le secrétaire d’État Mike Pompeo, le conseiller à la sécurité nationale John Bolton et le prince héritier sunnite de l’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane– appellent de leurs vœux le changement de régime en Iran, par la force si nécessaire
http://www.slate.fr/story/161500/diplomatie-donald-trump-retrait-accord-nucleaire-iranien
AUTRES SOURCES
http://vincentdetarle.free.fr/catho/iran.html
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